Capesterre Belle-Eau
Capesterre Belle-Eau : Capèstè
Superficie : 10 300 hectares
Située au centre de la Côte-au-Vent de Basse-Terre, Capesterre Belle-Eau tient son origine étymologique d'une expression marine « cab à terre » c'est-à-dire terre exposée aux vents d'est, à laquelle a été ajoutée le complément belle eau qui souligne la présence importante de cet élément naturel.
De nombreuses rivières, chutes et cascades s'éparpillent sur cette commune, en faisant de cet endroit l'un des plus prisés par les touristes. La plus célèbre de toutes ses chutes est celle du Carbet parmi les plus belles des petites Antilles.
De nombreuses rivières, chutes et cascades s'éparpillent sur cette commune, en faisant de cet endroit l'un des plus prisés par les touristes. La plus célèbre de toutes ses chutes est celle du Carbet parmi les plus belles des petites Antilles.
Christophe Colomb débarqua probablement lors de son second voyage au quartier Sainte-Marie le 4 novembre 1493 d'où la présence de son buste érigé en 1916.
En 1854 et ce jusqu'en 1899, des milliers de travailleurs dits libres sous contrat, d'origine indienne, sont recrutés dans les plantations en remplacement des esclaves libérés en 1848. Le témoignage de cette migration est caractérisé par le Temple de Changy, lieu important du culte hindouiste.
Actuellement, plus de la moitié de la production bananière de la Guadeloupe est fournie par Capesterre Belle-Eau.
La commune tient son origine éthimologique d'une expression marine " cab a terre " qui signifie terre exposée aux vents d'est. Le reste du nom " belle eau " s'explique par la présence importante de cet élément naturel sur l'ensemble de son territoire. Rivières, cascades et chutes se disputant la primeur. Mais Capesterre-Belle-Eau, plus précisément Sainte-Marie, c'est aussi là où Christophe Colomb débarqua lors de son second voyage le 4 novembre 1493. La commune se distingue également en fournissant plus de la moitié de la production bananière du pays. ...
